Kristina Bivona is a woman who finally adopted her mother’s maiden name. Her mother was a good woman who never left but probably should have. Kristina is the eldest of three girls who always saved the generic USDA canned pork until the end of the month. She prefers using dollar store lotion for her stencil-prints and it weeps when left on the wall.

She confronts a society that has no problem objectifying women but criminalizes women who profit from their objectification. She examines these power dynamics from the perspective of the female body which knows a white woman can exist simultaneously complicit and resistant to acts of violence.

She has worked with her hands since childhood and has applied her body in a variety of ways. This includes but is not limited to: pro domme-work, scholarship, riding freight, squatting, mothering, politics, and art.

Through language, text and materials, she manipulates issues of sex-work, feminism, modernism, activism and counterculture. Bivona brings the essence of punk to fine art, pushed there by inhospitable environments of racism, classism, and sexism. Her art is a form of resistance, always exposing and breaking down obstacles created by harmful social norms.

To find out more about her work, you can visit her website and follow her on Instagram

Kristina Bivona es una mujer que finalmente adoptó el apellido de soltera de su madre. Su madre era una buena mujer que nunca se fue, pero probablemente debería haberlo hecho. Kristina es la mayor de tres niñas que siempre guardaban la carne de cerdo enlatada genérica del USDA hasta fin de mes. Prefiere usar la loción de la tienda de un dólar para sus planillas y llora cuando se la deja en la pared.

Ella se enfrenta a una sociedad que no tiene problema en cosificar a las mujeres pero criminaliza a las mujeres que se benefician de su cosificación. Ella examina estas dinámicas de poder desde la perspectiva del cuerpo femenino que sabe que una mujer blanca puede existir simultáneamente como cómplice y resistente a los actos de violencia.

Ha trabajado con sus manos desde la infancia y ha aplicado su cuerpo en una variedad de formas. Esto incluye, pero no se limita a: trabajo pro domme, becas, transporte de carga, ocupaciones ilegales, maternidad, política y arte.

A través del lenguaje, el texto y los materiales, manipula temas de trabajo sexual, feminismo, modernismo, activismo y contracultura. Bivona lleva la esencia del punk a las bellas artes, empujado allí por entornos inhóspitos de racismo, clasismo y sexismo. Su arte es una forma de resistencia, siempre exponiendo y derribando obstáculos creados por normas sociales dañinas.

Para saber más acerca de su trabajo, puedes visitar su página web y seguirla en Instagram

Kristina Bivona est une femme qui a finalement adopté le nom de jeune fille de sa mère. Sa mère était une bonne femme qui n’est jamais partie mais qui aurait probablement dû le faire. Kristina est l’aînée de trois filles qui ont toujours gardé le porc en conserve générique de l’USDA jusqu’à la fin du mois. Elle préfère utiliser la lotion du magasin à un dollar pour ses impressions au pochoir et elle pleure lorsqu’elle est laissée sur le mur.

Elle confronte une société qui n’a aucun problème à objectiver les femmes mais qui criminalise les femmes qui profitent de leur objectivation. Elle examine ces dynamiques de pouvoir du point de vue du corps féminin qui sait qu’une femme blanche peut exister à la fois complice et résistante aux actes de violence.

Elle travaille avec ses mains depuis l’enfance et a appliqué son corps de différentes manières. Cela inclut, mais sans s’y limiter : le travail de domme pro, l’érudition, l’équitation, le squat, le maternage, la politique et l’art.

À travers le langage, le texte et les matériaux, elle manipule les questions du travail du sexe, du féminisme, du modernisme, de l’activisme et de la contre-culture. Bivona apporte l’essence du punk aux beaux-arts, poussée là par des environnements inhospitaliers de racisme, de classisme et de sexisme. Son art est une forme de résistance, exposant et brisant toujours les obstacles créés par les normes sociales néfastes.

Pour en savoir plus sur son travail, vous pouvez visiter son site web et la suivre sur Instagram.

publicaciones - publications

DIVING WITH DAVIS -PART 1

diving with davis -part 2

diving with davis -part 3

diving with davis -part 2